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25 févr. 2009

Idriss Deby ITNO à Abéché...

Idriss Deby ITNO passe 24 heures à Abéché.

Nous sommes mardi, 24 février 2009. Il est presque midi et demi. Il faisait évidemment chaud. Une grande foule composée des autorités administratives, militaires, traditionnelles et religieuses de la région du Ouaddaï, ainsi que de simple citoyen s’est installé quelque part à cinq kilomètres à la sortie nord de la ville d’Abéché. Véhicules, motos, Rakchas, cavaliers et piétons, on se rappelait du jour de l’intronisation du Sultan du Dar Ouaddaï. Policiers, brigadiers et municipaux sont visibles partout pour essayer d’organiser la masse.

Juste un moment, des véhicules militaires font leur apparition devant la foule. C’est Idriss Deby ITNO qui arrive. Debout sur son véhicule, les bras levés saluant la foule qui s’y trouve, le président de la république avait l’air fier de la population du Ouaddaï. Tout au long de la route sur son passage, c'est-à-dire jusqu’à sa résidence au quartier Goz-Amir, l’ont voit des hommes, des femmes et des enfants accueillant le chef de l’Etat, accompagné de plusieurs membres du gouvernement, des techniciens et des conseillers.

Cette visite s’inscrit dans le cadre de la tournée que le chef de l’Etat a entreprise il y a quelques semaines à l’Est du Tchad.

Le président de la république, Idriss Deby ITNO a quitté Abéché ce matin après un séjour de 24 heures. Le chef de l’Etat qui était accompagné par plusieurs membres du gouvernement, des techniciens et des conseillers est venu dans le cadre de la tournée qu’il a entreprise il y a quelques semaines à l’Est du Tchad.

Le soir, le ministre de l’intérieur et de la sécurité qui faisait parti de la délégation a animé un meeting populaire à la place de l’indépendance d’Abéché. Toutes les couches sociales de la région étaient au rendez-vous. S’adressant à la population, Ahmet Mohamad Bachir s’est appesanti sur la paix, la vie chère, la protection de l’environnement et surtout la détention illégale d’armes de guerre par les civils. "On ne peut jamais parler de la sécurité sans les armes détenues illégalement se seront déposées." fait-il savoir.

Le président de la république quitte ce soir, 25 février 2009, dirigeant vers l’Ouest.

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